Son défi : adopter les bons réflexes de prévention et convaincre un maximum d’amies de prendre rendez-vous chez le gynécologue
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Le petit pas de Marie
Patiente fictive
« Le suivi est essentiel. On ne doit pas renoncer à un suivi gynécologique régulier, même avec un emploi du temps chargé »
Marie, 28 ans. Fille de Corine, 64 ans, patiente atteinte d’un cancer de l’ovaire.
Les conseils de Marie pour adopter les bons réflexes de prévention
Les chiffres-clés des soins gynécologiques
Suivi gynécologique
Veillez à votre santé gynécologique 2,3
Le suivi gynécologique ne se limite pas à la prise en charge des problèmes de santé : il joue un rôle essentiel en matière de prévention, de dépistage et d’information.
Faites-vous suivre régulièrement sur le plan gynécologique 2,3
Un suivi gynécologique régulier, même après la ménopause, est essentiel.
Cela permet :
- De mieux comprendre son corps, ses cycles et ses besoins
- De parler librement de contraception, sexualité douleurs éventuelles, projet de grossesse, etc.
- De prévenir ou détecter précocement certaines maladies (infections, cancers, troubles hormonaux, …)
Jusqu’à 25 ans, on peut bénéficier d’une première consultation gratuite et confidentielle (CCP) pour parler de contraception et santé sexuelle avec un professionnel de santé.
Choisissez un professionnel de santé avec lequel vous vous sentez à l’aise et en confiance 2,3
En France, trois types de professionnels peuvent assurer un suivi gynécologique, prescrire une contraception ou réaliser un test HPV/frottis :
- Le gynécologue médical ou obstétricien
- La sage-femme
- Le médecin généraliste
Cancer de l’ovaire
Penchez-vous sur votre histoire familiale 4
Environ 1 cancer de l’ovaire de haut grade sur 5 est lié à une anomalie génétique héréditaire. Soyez attentif si des femmes ont été touchées par ce cancer ou un cancer du sein dans votre famille, ceci peut représenter un facteur de risque. N’hésitez pas à en discuter avec votre médecin.
Ne négligez aucun signe inhabituel 2
Un cancer de l’ovaire provoque peu de symptômes, c’est pourquoi il est important de signaler rapidement à votre médecin tout signe inhabituel afin qu’il en détermine l’origine.
Cancer de l’endomètre
Luttez contre les facteurs de risque 5
Le diabète, le surpoids et l’obésité peuvent augmenter le risque de développer un cancer de l’endomètre. Des professionnels de santé peuvent vous accompagner pour échanger sur les habitudes de vie bénéfiques au quotidien, comme la pratique d’une activité physique et les vertus d’une alimentation variée.
Ne négligez aucun signe inhabituel 2
Il est important d’informer votre médecin si des symptômes surviennent et, en particulier si des saignements apparaissent après la ménopause (même s’ils sont peu abondants et/ou ne se produisent qu’une seule fois) ou en dehors des cycles habituels. Il réalisera un bilan afin d’en déterminer l’origine.
Cancer du col de l’utérus
Vaccination et dépistage, des moyens de prévention efficaces 6,7
La vaccination HPV des filles et garçons de 11 à 26 ans prévient les infections à papillomavirus humain, le facteur de risque majeur de développer un cancer du col de l’utérus. Ce virus est responsable de 99% des cancers du col de l'utérus. Le dépistage du cancer du col de l’utérus permet quant à lui de détecter précocement des lésions anormales et d’agir tôt et vite sur la maladie.
L’histoire de Corine et Marie
Écouter l’histoire de Corine
Corine, 64 ans. Patiente atteinte d’un cancer de l’ovaire et maman de Marie, 28 ans. « Quand j’ai appris que mon cancer de l’ovaire était d’origine génétique, j’ai immédiatement pensé à mes enfants. Il m’a fallu plusieurs jours avant d’oser en discuter. Ma fille a vite voulu savoir si elle était aussi porteuse d’une mutation. »
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Prendre soin de sa santé,
c’est aussi prendre soin de sa santé gynécologique
NP-FR-AOU-WCNT-250008 - V1 - Juillet 2025
